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Maîtrisez toute la chaîne de production multimédia en open-source avec GPAC

ms smart mobility – photo : Kaique Rocha / pexel
GPAC est un ensemble d’outils multimédia open-source axé sur la modularité et la conformité aux normes, très populaire parmi les passionnés de vidéo, les universitaires, les organismes de normalisation et les diffuseurs professionnels. GPAC fournit des outils pour traiter, inspecter, empaqueter, diffuser, lire et interagir avec le contenu multimédia et s’exécute sur Windows, Linux, Mac OSX, iOS et Android.

Après bientôt 20 ans de développement, GPAC passe en version 1.0. Il s’agit d’une étape importante pour le projet, avec une toute nouvelle architecture permettant une personnalisation complète des chaines de traitement des médias via des blocs modulaires appelés filtres.

Les filtres facilitent l’utilisation et la personnalisation de GPAC grâce à une interface de programmation (API) unifiée. Les filtres facilitent le test, la documentation et la maintenance de GPAC. Les filtres rendent GPAC plus efficace grâce à un gestionnaire de ressources configurable. Les filtres font de GPAC 1.0 le meilleur GPAC à ce jour.

GPAC 1.0 ouvre de nombreuses possibilités : traitement multimédia distribué, entrées/sorties via fichiers, pipes ou sockets, ingestion de médias, capture de webcam / bureau, traitement à la volée via ECMAScript 2020, encodage ou transcodage audio / vidéo, chiffrement en direct, multi-publication de flux (HLS / DASH / TS / RTP / RTSP), streaming HTTP à faible latence, édition de contenu en direct (software ou GPU via WebGL), séparation de flux MPEG-2 TS …

L’écosystème multimédia est très innovant, tout comme GPAC, désormais prêt pour les 20 prochaines années !

L’open source à Télécom Paris

Au sein du COSI, centre pour l’innovation des logiciels libres (Center for Open Software Innovation) qui a été créé en 2018 au sein du laboratoire LTCI, Télécom Paris a référencé les logiciels open source développés et co-développés par les enseignants-chercheurs et les ingénieurs de l’école.

Visiter la page du COSI